diff --git a/Corpus/Encodage.md b/Corpus/Encodage.md
index 2293a43e75b04d67d59139467d0475bb729a4295..99c5bea7821bb2ad680e79a24732736596e732cd 100644
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@@ -721,11 +721,11 @@ matière, que quantité indénombrable plutôt que comme une unité sémantique
 sein d'un corpus d'étude. @rastier_textes_1996[p.18] refuse de réduire la notion
 de texte à sa seule représentation numérique — une «chaîne de caractères» — mais
 la définition qu'il propose à la page 19 s'avère tout de même éclairante sur
-cette composante qui représente sa «substance graphique». S'il refuse de limiter
-l'usage du mot texte aux seules productions écrites il requiert qu'une «suite
-linguistique» soit «fixée sur un support» pour pouvoir parler de texte. Une
-version numérique constitue une trace qui permet de fixer un texte et de le
-diffuser (partage, copie, sauvegarde).
+cette composante qui représente sa «substance graphique». Il ne limite pas
+l'usage du mot «texte» aux seules productions écrites mais requiert tout de même
+qu'une «suite linguistique» soit «fixée sur un support» pour pouvoir parler de
+texte. Une version numérique constitue une trace qui permet de fixer un texte et
+de le diffuser (partage, copie, sauvegarde).
 
 Le deuxième aspect de la définition de @rastier_textes_1996[*ibid*] insiste sur
 l'existence d'un texte dans le cadre d'un pratique sociale. Quel que soit le