diff --git a/Corpus/Application.md b/Corpus/Application.md index e21de959cf95e230b5f1db4f9316172c1a1dd724..11fab1189a4a54695235742b13416b6861c9b361 100644 --- a/Corpus/Application.md +++ b/Corpus/Application.md @@ -315,14 +315,14 @@ représentation unifiée d'un système à l'autre de caractères accentués[^nfc Contrairement aux différentes étapes de traitement et d'annotation qui représentent chacune les articles dans un format différent, les métadonnées -constituent des propriétés permanentes à associer aux textes (un auteur, un -domaine de connaissance…). Elles sont stockées dans des fichiers au format -[@=TSV], conçus pour faciliter l'accès par des moyens programmatiques (voir la -section \ref{sec:EdlA_encoding}). La structure des métadonnées relève donc déjà -davantage du code que des données, ce pourquoi les colonnes sont nommées en -anglais, *lingua franca* pour les codes sources. Ainsi, le tableau -\ref{tab:primary_key_example} représente les métadonnées minimales nécessaires -pour référencer par exemple les deux articles de la figure +constituent des propriétés stables qui peuvent être associées aux textes en tout +point de la chaîne (un auteur, un domaine de connaissance…). Elles sont stockées +dans des fichiers au format [@=TSV], conçus pour faciliter l'accès par des +moyens programmatiques (voir la section \ref{sec:EdlA_encoding}). La structure +des métadonnées relève donc déjà davantage du code que des données, ce pourquoi +les colonnes sont nommées en anglais, *lingua franca* pour les codes sources. +Ainsi, le tableau \ref{tab:primary_key_example} représente les métadonnées +minimales nécessaires pour référencer par exemple les deux articles de la figure \ref{fig:edda_geogr_mod}, c'est-à -dire leur clefs primaires. \begin{table}[h]